SilveRpès Blog, Conseils santé

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Attendre un enfant, quelle belle chose.

Mais voilà, avant qu'il ne voit le jour, on se trouve assailli de nombreuses questions, parfois ces interrogations se trouvent suggérées par des personnes pourtant bien intentionnées, il faut savoir faire la part des choses, et se renseigner au besoin sur certains sujets qui préoccupent plus que d'autres.

L'herpès fait bien sûr parti de ce qu'il faut aborder.

60% des adultes sont porteurs du virus de l'herpès, mais il reste presque toujours silencieux, invisible, et seulement 10% d'entre eux devront supporter une poussée récurrente.

Il faut bien savoir que même si l'herpès se montre discret, selon un rythme variable on observe des poussées invisibles libérant un flot de virus propre à contaminer tous les tissus qui se présenteront.

Si cette libération se produit lors de l'accouchement, le risque de contaminer le nouveau né est très importante, et le virus peut alors provoquer des dégâts considérables dans l'organisme du nourrisson.

Mais, au delà de ce constat, il convient de regarder les statistiques, et pour un pays comme la France, on observe moins de trente cas par an !

En cas de risque connu, la prescription d'antiviraux tels que le Zovirax et ses dérivés saura tenir tête à cette redoutable affection.

J'ai détaillé cela sur mes conseils santé

Marre des boutons de fièvre ?

Vous subissez encore l'apparition des boutons de fièvre, et cela ne vous agace pas ? Franchement, voir fleurir ces pustules à des moments où l'on a pas vraiment besoin dune telle décoration, c'est exaspérant. Moi aussi, je suis passé par là, j'ai essayé des tas de choses, de vrais " médicaments", censés agir, des trucs bizarres, mais rien, vraiment rien n'y faisait.

Un solide bagage scientifique en poche, j'examinais alors le pourquoi de tels errements, le pourquoi de l'absence de résultats tangibles. Raccourcir une crise d'une demi journée, comme l'indique les essais cliniques de médicaments réputés ne sauraient me satisfaire.

Ma ce jour, les meilleures offres " médicales" ont certains défauts particulièrement évidents. D'une part, les molécules proposées agissent sur la réplication du virus de l'herpès. Petite question, lors d'une crise d'herpès, quand ces produits interviennent- ils ? Lors de la multiplication de l'ADN du virus HSV1, reproduction qui se passe dans, DANS, LE NOYAU CELLULAIRE. Ces produits doivent sagement attendre que l'ADN soit injecté dans l'espace nucléaire. Alors, avant, en attendant ce stade il ne se passe rien ? Les cellules agressées attendent sagement et en parfait état de marche ?

Faux, FAUX, archi faux. Dès que le virus pénètre dans la cellule, INSTANTANEMENT, il détourne l'ensemble des fonctions de synthése à son seul profit. Les cellules sont détruites dés ce stade, et delà bien avant que les médicaments à ce jour proposés ne puissent agir. Un étrange silence radio règne sur cette phase.

Pour qu'un produit, quel qu'il soit, agisse sur la genèse d'un bouton de fièvre, il doit intervenir AVANT la pénétration du virus dans la cellule.

Pour pénétrer le virus doit s'accrocher aux parois cellulaires.

Des études scientifiques ont démontré que des composés à base de cuivre, ou des tanins de plantes empêchaient les virus de s'attacher aux cellules qu'ils convoitaient.

De plus, rien dans l'offre des produits patentés, n'agit sur les risques d'inflammations locaux, pas davantage sur la douleur ressentie, et les réparations cellulaires des tissus attaqués.

C'est dans cet esprit, et pour essayer de m'éviter ces crises gênantes, que j'ai mis au point un produit de soin, à base de tanins et d'extraits de plantes.

D'application facile et discrète, rafraîchit et soulage instantanément.

SilveRpès

les essais cliniques sont sur le site, à essayer absolument.

Qu’en est-il de l'utilisation des plantes à vocation médicinales, plantes qui doivent conserver l’intégrité de leurs propriétés reconnues, que ce soit sous forme plantes entières, ou parties de plantes entières (rhizome, tige, feuille, racine, écorce), ou sous forme de divers extraits (teintures, hydrolats, huiles essentielles etc.)? Le discrédit jeté sur le recours aux plantes pour soulager, apaiser ou traiter vient précisément du manque de connaissances de certains sur le pourquoi de l'efficacité de celles- ci. Il ne suffit pas de lire dans un ouvrage que telle plante agit sur telle affection, tel problème, pour que cela soit à considérer comme exploitable. Les exemples sont nombreux. Ainsi, dans l'excellent ouvrage de Jean Valnet, "le traitement des maladies par les plantes", les propriétés exploitables sont clairement indiquées.

Par exemple, la piloselle est décrite comme un excellent diurétique, mais un peu plus avant dans le texte, il ne faut oublier de remarquer que cette action ne se trouve constatée qu'avec la plante fraîchement cueillie. Une tisane réalisée avec la plante séchée ne devra son effet qu'à la quantité d'eau ayant servi à sa réalisation !

Lorsque j'étais enfant, pour soulager les piqures d’orties, je me frottais avec des feuilles de plantain trouvées dans le jardin. Cette friction produisait un soulagement rapide provoqué par les sucs de la plante fraiche libérés à cette occasion.

En fait, pour envisager une utilisation sérieuse en " médecine complémentaire ou alternative ", on devra pouvoir pister la plante depuis son terroir, jusqu'au produit final utilisé par l’industriel, produit final accompagné pour chaque lot concerné de nombreux documents, imposés par le législateur, donnant toutes les données permettant de garantir la préservation des propriétés médicinales que l’on est en droit de retrouver. Sous un même nom de plante, se dissimulent en réalité beaucoup de variantes, d'espèces, et qui plus est, le terrain de récolte, les conditions climatiques, vont fournir un produit final, dont les constituants organiques seront retrouvés dans des proportions variables. Les méthodes de récolte, la transformation de la plante, les modalités de stockage, les précautions à prendre lors du transport, tout à une importance.